Poste de professeure, professeur substitut en télédétection atmosphérique

Département des sciences de la terre et de l’atmosphèreUniversité du Québec à Montréal | Étudiez au Canada

L’UQAM recherche des candidates et candidats qualifiés afin de renouveler son corps professoral et assurer un développement de qualité dans tous ses domaines d’activité.

Le Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère de l’UQAM sollicite des candidatures pour un poste de professeure, professeur substitut en science de l’atmosphère. Nous recherchons des candidat(e)s ayant une expérience en télédétection atmosphérique, pour l’observation de l’atmosphère, notamment sur l’ensemble du spectre d’émissions terrestres, des observations actives (lidar et radar) et leurs synergies dans la production d’analyses d’observations. Le/la candidat(e) participera à la formation via les cours de télédétection et aux travaux de recherche à l’UQAM sur les missions satellitaires canadiennes AVENIR/HAWC et Atmosphere Observing System (AOS) de la NASA via la modélisation du rayonnement, incluant la diffusion et la polarisation des ondes électromagnétiques.

Le Département offre des programmes de formation en sciences de l’atmosphère aux 1er, 2e et 3e cycles. Le Département abrite le Centre pour l’étude et la simulation du climat à l’échelle régionale (ESCER) qui est reconnu internationalement pour ses contributions en recherche dans les domaines de la modélisation régionale du climat, des interactions et rétroactions Terre-atmosphère, des événements météorologiques hivernaux extrêmes, des risques hydrométéorologiques liés aux changements climatiques, de la modélisation paléoclimatique, de l’impact des aérosols sur le climat, de la télédétection et de l’assimilation de données. Le Centre ESCER participe activement au Réseau Inondations InterSectoriel du Québec (RIISQ).

SOMMAIRE DE LA FONCTION :
• Enseignement en télédétection atmosphérique (1ier et 2ième cycles) et en physique de l’atmosphère.
• Participation à la recherche dans le domaine ciblé.
• Services à la collectivité.

EXIGENCES :
• Doctorat en sciences de l’atmosphère ou en télédétection.
• Démontrer un intérêt pour la formation et l’enseignement aux trois cycles universitaires.
• Avoir un bon dossier de recherche et de publications dans des revues évaluées par des pairs.
• Maîtrise de la langue française, tant à l’oral qu’à l’écrit.

ATOUTS :
• Avoir de l’expérience en enseignement de la télédétection atmosphérique aux cycles supérieurs.
• Avoir de l’expérience en modélisation du rayonnement solaire et terrestre.
• Application aux observations des nuages, des aérosols, ou de la composition atmosphérique.
• Avoir contribué à des campagnes de mesures ou à l’analyse de données de télédétection atmosphérique.

DATE D’ENTRÉE EN FONCTION : 1ER SEPTEMBRE 2023

TRAITEMENT : Selon la convention collective UQAM-SPUQ

Soucieuse d’être représentative de la société québécoise et déterminée à s’enrichir de sa diversité, l’Université invite toutes les personnes qualifiées à soumettre leur candidature, en particulier les femmes, les personnes autochtones, les membres de minorités visibles et ethniques, ainsi que les personnes handicapées relativement au Programme d’accès à l’égalité en emploi. Les personnes issues de ces groupes sont invitées à s’auto-identifier lors du dépôt de leur candidature en remplissant le questionnaire d’identification à la présente adresse et à le joindre à leur dossier de candidature : https://rh.uqam.ca/qaccesegalite/

Conformément aux exigences canadiennes en matière d’immigration, la priorité devra être accordée aux personnes ayant les autorisations nécessaires pour travailler au Canada. Ce critère n’est pas une priorité au sens des conventions collectives applicables.

Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur dossier par courriel à darbyshire.fiona_ann[at]uqam.ca, avec copie à beauchemin.france[at]uqam.ca en un seul fichier PDF comprenant une lettre de motivation, un curriculum vitae détaillé, un énoncé d’intérêts de recherche (maximum 1 page), un exposé sur la philosophie de l’enseignement (maximum 1 page). Trois lettres de recommandation supportant votre candidature doivent également nous parvenir directement des répondants et être envoyées électroniquement aux mêmes adresses, le tout AVANT LE 30 JUIN 2023, à 17 H. Pour toute information supplémentaire, veuillez nous contacter.

Madame Fiona Darbyshire, directrice
Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère
Université du Québec à Montréal
Téléphone : 514 987-3000, poste 5054
Courrier électronique : darbyshire.fiona_ann[at]uqam.ca

Meteo France recherche : Ingénieur de recherche télédétection sol F/H

 Date limite de candidature : 16/07/2023

Nature de l’emploi
Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
Catégorie
Catégorie A (cadre)
Management
Non
Télétravail possible
Oui

Lien vers l’annonce : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/offre-emploi/ingenieur-de-recherche-teledetection-sol-fh-reference-2023-1220320/

Vos missions en quelques mots

En lien avec les autres agents de l’équipe et sous la direction de son responsable:

  • contribution active (rédaction et mise en œuvre) aux projets de recherche portés par l’équipe sur l’étude des basses couches de l’atmosphère en terrain complexe à fine échelle (de leur observation à leurs impacts), notamment les écoulement,
  • contribution active à la valorisation des données dans des communications scientifiques (publications, présentations lors d’ateliers ou de conférences) en synergie avec le chercheur de l’équipe,
  • conception et conduite des développements instrumentaux et algorithmiques (matériels, traitement et analyse des données…) et prise en charge des mesures concernant une partie des instruments de l’équipe,
  • participation à la préparation des dispositifs de mesure de l’équipe, à leur déploiement, à leur opération et à leur suivi pendant les campagnes de mesure,
  • contribution, en lien avec l’équipe données (TRAMM) du GMEI au traitement, à la qualification, à la mise en forme et à l’archivage de données de mesure diffusables via les pôles de données nationaux.

Le ou la titulaire du poste a la responsabilité de certains instruments au sein de l’équipe (maintenance, maîtrise de son utilisation, traitement et analyse des données associées, développements et innovations, collaboration avec des experts nationaux ou internationaux de l’instrument à l’extérieur du laboratoire).

Le ou la titulaire peut être amené à prendre en charge l’organisation pratique de certains projets en synergie avec le chercheur de l’équipe ou de certaines campagnes en coordination avec les autres équipes participantes sous la direction du responsable de l’équipe.

Profil recherché

Le poste est ouvert aux titulaires d’un doctorat, d’un diplôme d’ingénieur ou d’un master dans le domaine de l’instrumentation pour l’observation de l’atmosphère et de ses interfaces par télédétection (lidar, caméra, imagerie, radiométrie…), ou pouvant justifier d’un niveau équivalent en particulier pour les candidats étrangers.

Vous devez justifier de connaissances approfondies dans le domaine de l’instrumentation, de la mesure par télédétection et/ou de son utilisation pour l’observation des basses couches de l’atmosphère en terrain complexe et de ses interfaces.

Vous avez un fort attrait pour l’instrumentation, l’observation, l’innovation technologique, le travail de terrain et la recherche en sciences de l’atmosphère. L’aptitude au travail en équipe et en réseau, l’aptitude à innover et le dynamisme sont des points essentiels pour ce poste.

Connaissances de base :

  • observation de l’atmosphère et de ses interfaces par télédétection (lidar, radar, imagerie, radiométrie micro-onde…),
  • méthode de traitement et d’analyse de données issues d’instruments de télédétection,
  • technologie d’acquisition, de pré-traitement, de mesure, de transmission de données de télédétection.

Savoir-faire :

  • communication en français et anglais (écrite et orale),
  • encadrement de stagiaires,
  • programmation informatique,
  • gérer un projet,
  • mener une veille scientifique et technologique.

Savoir-être :

  • curiosité intellectuelle,
  • sens de l’innovation/créativité,
  • rigueur,
  • capacité d’écoute,
  • réactivité.

Symposium de la Commission III “Remote Sensing” – Belém, Brasil

Dans le cadre de la présidence franco-brésilienne 2022-26 de la Commission III « Remote Sensing » de la Société internationale de photogrammétrie et de télédétection (ISPRS), la SFPT est associée à la société brésilienne de télédétection SELPER-Brasil pour organiser le symposium à mi-parcours à Belém (Brésil) du 4 au 8 novembre 2024, conjointement avec le symposium latino-américain de télédétection SELPER. Ce double événement sera hébergé par l’Université fédérale du Pará (UFPA).

Voir la page web de la Commission III https://www2.isprs.org/commissions/comm3/ 

Télécharger la première annonce du symposium :

In the framework of the 2022-26 Franco-Brazilian presidency of the Commission III « Remote Sensing » of the International Society of Photogrammetry and Remote Sensing (ISPRS), SFPT is associated with the Brazilian remote sensing society SELPER-Brasil to organise the mid-term symposium in Belém (Brazil) from 4 to 8 November 2024, jointly with the Latin American remote sensing symposium SELPER. This double event will be hosted by the Federal University of Pará (UFPA).

See the Commission III webpage https://www2.isprs.org/commissions/comm3/

Download the first announcement of the symposium:

PhD Fellowship Position in Remote sensing of Water Quality

A 3-year PhD fellowship is proposed by the Laboratory of Oceanology and Geosciences LOG (Wimereux, France) on the water quality variability by multi-sensors remote sensing in an Inland water/estuarine/deltaic environments. Application to 1) Hauts- de-France watershed up to estuaries and 2) Lower Mekong watershed up to the delta.

Objectives

Multisensor remote sensing techniques are crucial for understanding the functioning of marine, coastal/littoral and inland water systems as it is a synoptic technique useful to improve our understanding of water quality across the Continental/Sea continuum. Water quality variables that can be assessed by multispectral satellites are turbidity, chlorophyll (an indicator of phytoplankton biomass, trophic and nutritional status), colored dissolved organic matter (an indicator of organic matter and aquatic carbon), suspended solids and non-algal particles. The variable, surface water temperature, is also considered as a good indicator of the environment in term of biodiversity/climate change and species migration corridor with well-defined thermal trajectories. However, the Tonlé Saplake (Cambodia) has never been analyzed concomitantly with other variables, which greatly limits our understanding of the phenomena where water masses are extremely dynamics and vary from nothing to nothing in composition and quantity to within half an hour! Via well-adapted algorithms and appropriated sensors (TRISHNA, Landsat, Sentinel, hyperspectral Unmanned Aerial Vehicule (UAV), etc.), handled images enable us to complete and densify the observations for better management of the territories, in this case here 1) the Hauts- de-France and 2) the Lower Mekong (VolTransMESKONG CNES project & Vietnam- France joint laboratory LOTUS). Indeed, the water quality parameters (WQP) are useful for the evaluation of the sanitary quality facilitating a fortiori the good management of these spaces from the ecological, economic and also touristic point of view (bathing waters). Through this thesis project, for the Hauts-de-France, the spatial/temporal monitoring of these indicators will, among other things, make it possible to understand the evolution and interactions between water masses and marine and coastal resources (biological and mineral) with a focus on estuaries. For the lower Mekong, climatic and anthropogenic forcings will be apprehended through the spatial/temporal analysis of water quality, its degradation and also the hydro-sedimentary flows from the watershed to the delta.

  • Qualifications: Master degree in remote sensing or oceanography or environmental sciences
  • Application closure date: May 4 2023
  • Position Length: 3-year fellowship from October 2023
  • Location: The candidate will be located at LOG, 32 avenue Foch, 62930 Wimereux, France

Applicants must submit:

For questions and application’s submission, please contact:

  • Cédric Jamet: cedric.jamet [at] univ-littoral.fr
  • Charles Verpoorter : Charles.verpoorter [at] univ-littoral.fr

Participez au 2° Congrès du SCO France !

Avec 61 projets labellisés en trois ans, le SCO France fédère déjà un écosystème de plus de 300 entités nationales ! Fin mai, cette communauté est invitée à se retrouver à Paris pour échanger, resserrer ses liens et en créer de nouveaux. Venez !

Pour sa seconde édition, le Congrès du SCO France se tiendra Mardi 30 mai 2023 de 9h à 15h au Centre de conférences Pierre Mendès-France à Paris.

Les inscriptions sont ouvertes en ligne : https://www.spaceclimateobservatory.org/fr/participez-au-congres-du-sco-france

Space for Climate Observatory : Trois ans d'existence et vingt-neuf  signataires de la Charte fondatrice – France-Science

Summer School 2023 – « Environmental point clouds classification »

15 May [online] + 12-15 June [Rennes, France]

https://clouds2023.sciencesconf.org/data/header/clouds2023_v7.gif

The CNRS, the University of Rennes and the University of Potsdam are pleased to announce their summer school on « Environmental point clouds classification » which will be held online (15 May) and in-person (12-15 June) in Rennes, France.

15 May (online) will be dedicated to an introduction to point clouds in the geosciences, classification, and machine learning.

12 June to 15 June (on site in Rennes) will cover several theoretical background lectures and hands-on exercises on point-cloud classification. We will work with different datasets and types, including airborne and terrestrial lidar and Structure-from-Motion based point clouds from urban and natural environments.

4 invited speakers will present their work focused on deep learning approaches to point clouds classification. It will be possible to remotely attend the invited speakers without registration and details will be made available at a later date.

Target audience

  • Early career researchers including postdoctoral researchers
  • Graduate students
  • Research support engineers
  • Staff from companies and agencies using point clouds in the field of geosciences

Requirements

  • Basic knowledge of Python is required to follow this course and participate in exercises. Python beginners may have difficulties following practical exercises.

Expected learning outcomes

  • Understanding deterministic (classical) airborne LiDAR tools to classify points, especially ground points: principles, caveats, and pitfalls.
  • Concepts of machine learning for classification and introduction to deep learning.
  • Creating labels for improved classification with CloudCompare and Python-based approaches.
  • Learn how to use 3DMASC, a new classification plugin for CloudCompare.
  • Learn how to use Python for custom-based point cloud classification.
  • Applying the tools on various datasets (natural and mixed urban environments) from different sources: ALS, TLS, SfM.

Costs

  • Graduate students and other early career researchers 150€
  • Staff from private sector 1000€

All pauses, lunches (June-12, 13, 14, 15) and dinners (June-12, 13, 15) are included in the registration fees. Accommodation is not included.

More information, pre-registration: https://clouds2023.sciencesconf.org

P. Leroy (CNRS, University of Rennes)
D. Lague (CNRS, University of Rennes)
B. Bookhagen (University of Potsdam)
A. Rheinwalt (University of Potsdam)
M. Letard (University of Rennes)

ISPRS GSW’2023 – Call for Papers

The ISPRS Geospatial Week “GSW2023” will be organized by The Arab Academy for Science, Technology, and Maritime Transport (AASTMT). The GSW’2023 will be the first ISPRS Geospatial Week in Africa and Middle East. The conference will be held in September 2-7, 2023, at the InterContinental Cairo Semiramis, Egypt.

The GSW2023 will host 29 workshops representing state of the art and future trends in Geospatial Technologies such as:

  1. Youth Presentation Forum
  2. SpACE – Spectral Remote Sensing in the era of AI, Cloud and Edge Computing
  3. Openness in Geospatial and Remote Sensing
  4. Precision GNSS: Technology Advances and Applications for Navigation and Mapping
  5. Photogrammetric 3D Reconstruction for Geo-Applications (PhotoGA 2023)
  6. Geospatial Data Analytics for Physical Geography Impact Assessment on Environment, Health and Society
  7. Intelligent Systems in Sensor Web and Internet of Things
  8. Underwater Mapping: Geospatial techniques for underwater documentation, mapping and monitoring
  9. SO&C: Sensor orientation and calibration for mapping and navigation purposes
  10. Smart Forests – Forest ecosystem assessment and monitoring using Remote Sensing, Artificial Intelligence, and Robotics
  11. Satellite Remote Sensing and Its Applications
  12. Advanced Data Preparation and Data Management for Geospatial and Remote Sensing Scenarios
  13. Laser Scanning 2023
  14. NGC of AV: Navigation, Guidance and Control of Autonomous Vehicles
  15. ISSDQ 2023- Artificial Intelligence and Uncertainty Modeling in Spatial Analysis
  16. Semantics3D – Semantic Scene Analysis and 3D Reconstruction from Images and Image Sequences
  17. GeoHB 2023: Geo-Spatial Computing for Understanding Human Behaviours
  18. The Geospatial Information and SDG Nexus: GI4SDGs
  19. SARcon 2023 – SAR constellations and applications
  20. Digital Construction
  21. CrowdMapping: Crowdsourcing for Global Mapping
  22. Indoor 3D
  23. IAMS – Intelligent and autonomous mapping systems
  24. AI-PC: AI-based Point Cloud and Image Understanding
  25. UAV-based mapping with imaging and LiDAR systems: challenges, data processing, and applications
  26. 3DS Smart Cities – 3D Sensing for Smart Cities
  27. Robotics for Mapping – SLAM approaches for mobile mapping and robot intelligence
  28. MMT and HDMaps – Mobile Mapping Technologies and HDMaps
  29. Cultural Heritage Visualization and Virtual Restoration

For more information about the workshops, please refer to the conference website workshops section:  https://gsw2023.com/index.php/workshops/

Please consider submitting your abstract/full paper and encourage your colleagues, research group members and fellow scientists to contribute and participate in this ISPRS major event.

Exhibition

An exhibition will also be held during the GSW’2023. This provides companies in the field with the opportunity to be involved and showcase their products, services, and expertise to an international audience. For more information about the sponsorship’s opportunities, please visit: https://gsw2023.com/index.php/sponsorship-and-exhibition/

Important Dates

Paper submissions

1. Annals (Fully Reviewed Papers):

  • Full paper submission (Annals): March 31, 2023 (hard deadline, no extension)
  • Full paper Author notification: May 1, 2023
  • Camera ready paper submission: May 1 – June 1, 2023

2. Archives (Abstract Reviewed Papers):

  • Abstracts submission (Archives): April 15, 2023 (hard deadline, no extension)
  • Abstracts Author notification: May 15, 2023
  • Camera ready paper submission: May 15 – June 1, 2023

Please refer to the conference website for more information about the submission guidelines and process.

Registration deadlines

  • Early bird registration deadline: May 1, 2023
  • Late registration deadline: July 1, 2023

Travel Grants

TIF travel grants will be offered by the ISPRS Foundation to enable deserving young authors, especially from developing countries, to participate in the GSW’2023, Cairo, Egypt. The application to the travel grants will be open soon.

CNES : Appel à candidatures doctorats et postdoctorats

Les offres de thèses/postdoctorats, sont disponibles sur le site internet du CNES : https://recrutement.cnes.fr/fr/annonces

Les offres peuvent être triées par type de contrat (doctorat ou postdoctorat) et par type de domaines/métiers.

En 2023, l’appel à candidatures sera ouvert du 1er février au 16 mars 2023.

Les auditions pour les candidats prés-sélectionnés pour un postdoctorat se dérouleront courant avril/mai 2023.

La commission finale de choix aura lieu le 1er juin 2023.

Pour en savoir plus : https://cnes.fr/fr/theses-post-doctorats

Contact : PhD@cnes.fr

CNES : Appel à Propositions de Recherche pour 2024

Cet Appel à Propositions de Recherche (APR) prépare le programme de recherche scientifique spatiale du CNES pour l’année 2024.

Il concerne les projets nationaux ainsi que les projets de l’ESA et des autres agences spatiales.

Il concerne les sciences de l’Univers, les sciences en microgravité, les sciences de la planète Terre et les sciences humaines et sociales.

Les listes des contacts CNES et thématiques scientifiques sont disponibles sur le site web du CNES : https://sciences-techniques.cnes.fr/fr/programme-scientifique.

Les propositions doivent être déposées pour le 6 avril 2023 au plus tard via la plateforme: https://appels-sciences.cnes.fr/fr

Pour en savoir plus : https://sciences-techniques.cnes.fr/fr/appel-propositions-de-recherche & Appels à Contributions du CNES

Contact : AppelAPropositions@cnes.fr

Dr. Mehrez Zribi, un membre de la SFPT à l’honneur

Le Dr. Mehrez Zribi, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la télédétection de l’humidité des sols par données radar a reçu la médaille d’argent 2023 du CNRS.

Mehrez est actuellement directeur du CESBIO, laboratoire membre de soutien de la SFPT qui accueillera notre prochaine Assemblée Générale le 5 avril.

A travers lui, c’est aussi toute la communauté nationale en télédétection qui est à l’honneur et reconnue par le CNRS.

Toutes nos félicitations au lauréat.

https://www.cnrs.fr/fr/personne/mehrez-zribi

The Copernicus Data Space Ecosystem portal, a new service to access and exploit the Copernicus satellites data

NUMTECH - COPERNICUS, programme européen de surveillance de la Terre

The new Copernicus Data Space Ecosystem follows on from the success of the current Copernicus Data Hub distribution service, ensuring the continuity of the open and free access to Copernicus data and extending the portfolio for data processing and data access possibilities.

Users can now access a first release of the Copernicus Data Space Ecosystem via the new web portal.

New service functionalities together with portal updates will be released in the coming months in line with the service roadmap as documented on the new web portal.
Users of the current Copernicus Data Hub distribution service are encouraged to re-register on the new web portal and migrate their workflows to the Copernicus Data Space Ecosystem before July 2023.

The Copernicus Data Hub distribution service will continue its full operations until the end of June 2023 to allow a smooth migration to the new Copernicus Data Space Ecosystem service by all user communities.
As from July 2023 and until September 2023, the Copernicus Data Hub distribution service will continue offering access to Sentinel data with a gradual ramp-down of the operations capacity and data offering.

Discover more about the Copernicus Data Space Ecosystem with the short video and access the data via https://dataspace.copernicus.eu

Lettre d’information #51 – Mars 2023

Sommaire

Editorial #51

Cher.e.s ami.e.s et collègues,

L’année est déjà entamée de quelques mois mais cela n’interdit pas de souhaiter qu’elle ait bien commencé pour vous et vos proches. J’espère qu’en dépit de notre contexte national morose et incertain, et de l’international dramatique, vous vivez des moments chaleureux, enthousiastes et enrichissants dans vos cercles amicaux, familiaux ou professionnels.

C’est aussi notre souhait au sein de notre grande famille SFPT et nous sommes ravis de vous proposer en 2023 plusieurs évènements pour nous retrouver et partager connaissances et expérience.

Le mercredi 5 avril à Toulouse, l’Assemblée Générale de notre association sera dédiée aux retrouvailles et échanges sur l’année écoulée, nos projets et notre fonctionnement. Je remercie le laboratoire CESBIO, membre de soutien de la SFPT qui nous accueillera pour cette occasion et présentera ses activités. Trois manifestations scientifiques nationales organisées ou co-organisées par la SFPT se tiendront au second semestre : le 8è colloque scientifique du groupe Hyperspectral de la SFPT les 5 & 6 juillet à Paris, le séminaire SFPT « Pléiades Néo : de nouveaux satellites pour de nouveaux usages » le 5 octobre à Toulouse et le colloque « l’imagerie spatiale au service du patrimoine culturel » du groupe archéologie de la SFPT au mois de novembre. Vous trouverez plus d’information et les appels à communication dans les articles dédiés.

Au niveau international, la SFPT co-organise, en juin 2023 à Vancouver (Canada) et conjointement avec la conférence CVPR, un workshop sur la photogrammétrie et vision par ordinateur.

Dans notre newsletter vous trouverez bien sûr aussi de l’actualité scientifique.

L’équipe de l’EOST Strasbourg dans le cadre du pôle Form@ter de DataTerra a produit des cartes de déplacements horizontaux le long des failles lors des séismes qui ont récemment frappé la Turquie et la Syrie du Nord, identifiant des décalages spatiaux de 3 à près de 10m. L’équipe exploratoire Ayana de l’INRIA quant à elle, nous présente une nouvelle méthodologie de détection et suivi de véhicules qu’elle a développée. Enfin nous vous proposons une courte vidéo CNRS qui illustre les capacités de l’imagerie hyperspectrale pour l’étude des couleurs dans le cadre de la restauration d’œuvres patrimoniales. Notre Revue a de son côté décerné en début d’année le prix du meilleur article étudiant 2021 – 2022.

Concernant les prochains évènements d’intérêt pour notre Communauté, vous pourrez noter le lancement du 3è Plan d’Applications Satellitaires (2023 – 2027) du MTECT le 13 avril et le deuxième Congrès du SCO France le 28 mars à Paris.

Au nom du Conseil d’Administration et du bureau, je vous remercie de votre fidélité et de vos contributions à la vie de notre association. N’hésitez pas à adresser au bureau les informations scientifiques ou évènementielles que vous souhaitez diffuser à notre communauté. Et maintenant bonne lecture, et rendez-vous début avril pour notre prochaine Assemblée Générale !

Aurélie Sand
Présidente de la SFPT

Séismes en Turquie : premiers champs de déplacements issus des services de calcul optique de ForM@Ter

Information reprise de ForM@Ter / 18 Février 2023
doi:10.25577/EWT8-KY06 : https://doi.data-terra.u-strasbg.fr/GDM_OPT_Turkey_Syria/

Le lundi 6 février 2023, deux grands séismes Mw7+ ont frappé la Turquie et la Syrie du Nord. Le premier événement s’est produit le long de la faille Est Anatolienne t (EAF) (N60) et de son prolongement vers la faille de la mer Morte, la faille Karazu (N25), avec un épicentre à 30 km au sud-est de la zone de rupture principale. Le second événement est situé au nord du premier, le long de la faille N100 de Sürgü-Çartak. Les mécanismes focaux des deux chocs présentent une composante dominante de glissement latéral gauche sur des failles sub-verticales. Ces ruptures et mécanismes sont compatibles avec une extrusion de l’Anatolie vers l’ouest entre les failles Nord et Est de l’Anatolie en réponse à la convergence Arabie-Eurasie. La géométrie complexe des failles activées au cours de cette séquence sismique éclaire la manière dont la déformation est partitionnée et distribuée entre les failles de cette triple jonction reliant la Nubie, l’Arabie et l’Anatolie.

La constellation actuelle de satellites d’observation de la Terre a permis une acquisition rapide de l’ensemble de la zone touchée peu après les principales secousses. Le 9 février 2023, le satellite Copernicus Sentinel-2 a acquis plusieurs images optiques alors que la région était en grande partie dépourvue de nuages. Cet ensemble de données offre une couverture complète du système de failles activées lors de ces événements, à une résolution spatiale de 10 m.

Le service GDM-OPT-ETQ du pôle de données ForM@Ter de l’Infrastructure de Recherche Data-Terra a été utilisé pour mesurer les déplacements co-sismiques entre les images du 25 janvier 2023 et du 9 février 2023. Le traitement massif de plusieurs tuiles Sentinel-2 a été effectué sur la plateforme de calcul GEP / Geohazards Exploitation Platform et à partir des webservices ForM@Ter. Ce service de calcul à la demande a été conçu pour quantifier les déformations co-sismiques déclenchées par des séismes de magnitude significative. Il offre un module pour la mesure du déplacement de sous-pixels entre une ou plusieurs paires d’images optiques (corrélation d’images sous-pixels) et un module pour la correction des résidus géométriques. Ces modules sont fondés sur la librairie de photogrammétrie open-source MicMac.

Les produits finaux du traitement sont des cartes de déplacements horizontaux Est-Ouest et Nord-Sud couvrant plus de 300 km le long des failles, à une résolution spatiale de 10 m.

Ces cartes contribuent de manière significative à l’identification et à la cartographie des ruptures de surface et déterminent le déplacement le long des failles. Des décalages spatiaux de l’ordre de 3 à près de 10 m sont identifiés avec une grande variabilité géographique le long des failles.

Le produit disponible en téléchargement sur le portail de ForM@Ter, en deux formats (grilles Geotiff, et grilles kmz).

Ce travail, opéré par l’EOST dans le cadre de ForM@Ter, a bénéficié du support du CNES, de l’ESA et du CNRS.

Auteurs : F. Provost, J.-P. Malet, D. Michéa, J. van der Woerd, E. Ostanciaux

Au cœur de la télédétection par satellite : l’équipe Ayana de l’Inria

Cet article évoque les travaux de Jules Mabon (Doctorant), Camilo Aguilar (Postdoc) et Josiane Zerubia (Directrice de recherche), en collaboration avec Mathias Ortner (Expert senior en data science et intelligence artificielle chez Airbus D&S). Il a été écrit par Louis Hauseux (Ingénieur de recherche) et Josiane Zerubia.

Le secteur aérospatial a été bouleversé au début du XXIe siècle par ce que l’on a appelé le New Space, c’est-à-dire l’irruption d’intérêts économiques privés dans le domaine spatial où les états détenaient autrefois un monopole. Il est depuis lors en pleine extension et connaît de nombreuses mutations. Mutations économiques, donc, inséparables de mutations technologiques : tant au niveau des capteurs (IRT non refroidi, Ultra-Violet lointain etc.), des systèmes embarqués ou des satellites eux-mêmes.

L’équipe exploratoire Ayana de l’Inria, dont une partie des ressources provient du contrat LiChIE signé en 2020 avec Bpifrance et Airbus D&S, est dirigée par Josiane Zerubia et s’occupe de traitement d’image pour la télédétection. Airbus D&S fournit à l’équipe Ayana des images ou de courtes séquences vidéo obtenues par les satellites des constellations Pléiades, Pléiades Neo ainsi que des simulations de CO3D (pour COnstellation 3D), la constellation qui devrait être mise en orbite en mars 2024 – nous allons revenir sur cette COnstellation-3D. Pour donner un exemple du type de données qu’Ayana reçoit : les deux satellites Pléiades Neo, depuis leur orbite polaire héliosynchrone à 620 km d’altitude, prennent des images sur 6 bandes spectrales d’une très haute résolution native (30 cm pour la panchromatique) avec une fauchée de 14 km. Lorsque d’autres satellites fournissent des données vidéo, leur rafraîchissement peut varier entre 1 et 60 Hertz (les satellites de CO3D seront d’ailleurs dotés de capteurs matriciels qui permettent la capture vidéo).

L’équipe Ayana conçoit des programmes informatiques à partir de modèles stochastiques et d’apprentissage profond visant à automatiser le plus possible la détection d’objets d’intérêt tels que des véhicules présents sur de telles images. Dans le cas des vidéos, le défi est double : il s’agit non seulement de détecter les véhicules qui apparaissent, mais encore de les suivre à la trace jusqu’à ce qu’ils disparaissent de la vidéo. Pour ce faire, les chercheurs d’Ayana mettent au point des solutions originales et spécialement appropriées aux problèmes qui lui sont posés.

On imagine aisément les nombreuses applications, tant civiles que militaires, permises par ce genre d’imagerie satellitaire.

S’inscrivant dans la logique du New Space, et afin de pouvoir répondre à des publics différents (notamment des acteurs privés), le CNES a initié en 2019 le programme CO3D. Le lancement de cette constellation comportant quatre satellites à faible coût est prévu pour mars 2024. La réalisation en a été confiée à Airbus D&S. Une fois en orbite, la constellation fournira des images tridimensionnelles et multi-spectrales (rouge, vert, bleu ainsi que proche infrarouge, ou NIR en anglais ; bande spectrale particulièrement utile pour l’observation de la végétation). La résolution sera de 50 cm pour les bandes-couleurs, 1 m pour le proche infrarouge. La reconstruction tridimensionnelle des images permettra d’obtenir une « résolution verticale » de 1 m. Ces données pourront aussi bien servir à la France pour des applications duales (notamment celles requérant une cartographie 3D) qu’à des acteurs internationaux via la filiale Airbus D&S Geo.

C’est avec le même souci de s’adapter aux nouvelles demandes toujours plus exigeantes que l’Inria a signé en 2020 le contrat LiChIE avec Bpifrance en collaboration avec Airbus D&S impliquant huit de ses équipes dont Ayana. Cette dernière reprend la suite de l’équipe Ayin, également dirigée par Josiane Zerubia, dont le contrat avec Airbus D&S sur un sujet de recherche proche était arrivé à terme à la fin de l’année 2015. Les modèles stochastiques de suivi d’objets proposés par l’équipe Ayin supposaient que lesdits objets ne subissaient pas de trop fortes accélérations ; ces modèles se sont révélés insuffisants lorsqu’il a fallu se mettre à suivre des « go fast cars » ou autres « speed boats ».

L’équipe exploratoire de recherche Ayana a développé une nouvelle méthodologie de détection et de suivi de véhicules. L’attache aux données ne consiste pas en la simple localisation des objets d’intérêt : ces objets étant des véhicules, l’on détermine aussi leurs dimensions et leur orientation. L’idée est alors d’introduire une certaine fonction de coût qui rende compte non seulement de la bonne localisation des véhicules, mais aussi de considérations d’ordre géométrique. Voici un bref résumé du protocole :

  • pour la localisation, l’on recourt aux méthodes classiques d’apprentissage profond (par des réseaux neuronaux convolutifs, ou CNN en anglais). Ceci constitue l’attache aux données ;
  • on introduit des a priori sur les configurations géométriques qui pénalisent des situations jugées peu vraisemblables comme des véhicules qui se superposeraient ou n’auraient pas des dimensions admissibles. Au contraire, on peut grâce à d’autres a priori privilégier certaines configurations où des voitures proches sur une même route seraient bien alignées ;
  • il s’agit alors de trouver la solution (localisation + configurations) optimale, c’est-à-dire qui minimise la fonction de coût tenant compte de l’attache aux données et des a priori. Le calcul stochastique (et notamment un certain type de chaînes de Markov) nous permet d’en chercher une approximation.

La procédure mise en place pour le suivi des objets juxtapose de la même manière des outils d’apprentissage profond (ou deep learning) et d’autres tirés du calcul stochastique.

Cette stratégie originale a fait ses preuves et l’ « état de l’art » s’en est vu amélioré pour des situations jugées difficiles (ainsi de la détection de véhicules au niveau d’une zone d’ombre ou du bon suivi de véhicules au sein d’un trafic routier intense, avec de nombreuses intersections ou ronds-points).

Le lecteur peut s’en faire une idée en allant consulter les publications récentes de l’équipe Ayana à retrouver sur sa page internet (cf. le lien ci-dessous).

Un logiciel produit par Ayana de détection de véhicules et de leur suivi sera transféré à Airbus D&S pour être éprouvé dans le cadre de leur suite logicielle Open source PESTO. À terme, le but est que ce logiciel soit intégré à bord de l’un des quatre satellites de CO3D.

Jules Mabon en train de comparer les résultats de différents algorithmes de détection de véhicules

Liens :
https://team.inria.fr/ayana/
https://team.inria.fr/ayin/
Contact :
Josiane Zerubia
Inria, Université Côte d’Azur, France
josiane.zerubia@inria.fr
(+33)
4-92-38-78-65

Enquête sur les couleurs de la Dame à la licorne

Mystérieux chefs-d’œuvre anonymes du musée de Cluny, les six tapisseries qui composent la célèbre Dame à la licorne ont perdu une partie de leurs couleurs au fil des siècles et des restaurations. Dans ce reportage diffusé conjointement par la lettre n° 76 de CNRS Le journal, site d’information scientifique, et le journal Le Monde, découvrez comment les scientifiques du laboratoire Archéosciences de Bordeaux tentent d’en percer les secrets grâce à l’imagerie hyperspectrale et de recréer les recettes médiévales de colorants, avec l’aide d’une teinturière.

À propos de cette vidéo

Année de production : 2023
Durée : 7,29 min
Producteur : CNRS Images

Avec la participation de :

  • Aurélie Mounier (CNRS) et Pauline Claisse (CNRS) du Laboratoire Archéosciences Bordeaux (CNRS / Université Bordeaux Montaigne / Université de Bordeaux)
  • Béatrice de Chancel-Bardelot du Musée de Cluny
  • Raphaëlle Dejean et Thalia Bajon-Bouzid, restauratrices indépendantes
  • Charlotte Marembert de l’Atelier de teintures Myrobolan (Bruxelles)

https://lejournal.cnrs.fr/videos/enquete-sur-les-couleurs-de-la-dame-a-la-licorne

8e colloque scientifique du Groupe Hyperspectral de la Société Française de Photogrammétrie et de Télédétection

Le Groupe Hyperspectral de la Société Française de Photogrammétrie et de Télédétection (SFPT-GH) a pour but de fédérer la communauté hyperspectralefrançaise, d’assurer sa visibilité sur le planinternational et de faciliter les échangesscientifiques. Les précédents colloques ont réuni plus de 80 participants. Ils se sont tenus à Brest, Grenoble, Montpellier, Paris, Porquerolles et Toulouse.

Le 8e colloque scientifique du groupe SFPT-GH aura lieu à Paris les 5 et 6 juillet 2023, dans les locaux de l’Université Paris Cité. Il abordera les avancées les plus récentes dans le domaine des capteurs, des méthodes et des algorithmes de traitement des données hyperspectrales. Les missions spatiales en préparation et en exploitation y seront également présentées, ainsi que l’apport de l’imagerie hyperspectrale dans des domaines d’application aussi variés que les géosciences, la végétation, les milieux littoraux et urbains,l’atmosphère, la planétologie, la médecine, l’industrie, l’expertise d’œuvres d’art, etc.

Les participants présenteront leurs travaux sous forme de présentation orale (15-20 minutes avec questions) ou de poster. Un espace sera également dédié aux professionnels souhaitant exposer leurs produits et solutions.

Toutes les informations pratiques sont disponibles sur le site Web de la SFPT-GH : http://www.sfpt.fr/hyperspectral/

Dates

5-6 juillet 2023

Lieu

Campus des Grands Moulins, Université Paris Cité, Paris 13e

Comité d’organisation

Karine Adeline, ONERA
Xavier Briottet, ONERA
Véronique Carrère, LPG
Jean-Baptiste Féret, INRAE
Stéphane Jacquemoud, UPC/IPGP
Philippe Maisongrande, CNES
Rodolphe Marion, CEA
Aurélie Sand, SFPT

Contacts

Stéphane Jacquemoud
01 57 27 84 96
jacquemoud@ipgp.fr

Rodolphe Marion
01 69 26 48 24
rodolphe.marion@cea.fr

Envoi des résumés à hyperspectral@sfpt.fr
Date limite d’envoi des résumés : 31/03/2023
Avis d’acceptation des résumés : 15/05/2023
Date limite d’inscription : 15/06/2023
Institut de Physique du Globe de Paris - Overleaf, Online LaTeX EditorCentre national d'études spatiales — WikipédiaCommissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives — WikipédiaSociété Française de Photogrammétrie et de Télédétection
Onera - Signature de marque mondialeDécouvrez l'INRAE,issu de la fusion de l'Inra et de l'IrsteaUMR_C 6112 Laboratoire de Planétologie et Géosciences - UFR Sciences et  techniques

Séminaire « Pléiades Neo: de nouveaux satellites pour de nouveaux usages »

TOULOUSE, le 5 octobre 2023

Le séminaire

En 2021, Airbus Defence and Space lançait deux satellites Pléiades Neo avec des caractéristiques nouvelles :

  • Une résolution de 30 cm qui s’approche des résolutions aériennes ;
  • Deux nouvelles bandes spectrales (Deep Blue, RedEdge) que n’avaient pas ses prédécesseurs et qui ouvrent la porte à de nouvelles applications.

Après presque deux ans de mise en service auprès des utilisateurs, la SFPT souhaite faire le point avec la communauté scientifique sur les données Pléiades Neo et les nouveaux usages qui ont pu en découler.

Pour cela la SFPT organisera un séminaire d’une journée sur l’utilisation des images Pléiades Neo le 5 octobre 2023 à Toulouse.

Toutes les thématiques seront abordées : évaluation des produits, reconstruction 3D, évaluation pour des applications thématiques spécifiques (cartographie, environnement, …), nouveaux cas d’usage, par exemple liés aux nouvelles bandes spectrales…

Téléchargez le programme détaillé de la journée et les instructions pour les participants

Les inscriptions sont maintenant clôturées,
merci de l’intérêt que vous portez au séminaire

Programme

9h – 9h30 : Accueil (café)

9h30 – 10h : Allocutions
• Introduction par la Présidente de la SFPT (A. Sand, Présidente de la SFPT)
• Présentation de Pléiades Neo par M. Chemouny (HO Optical Programmes & Imagery, Airbus Defence & Space)

10h00 – 10h05 : Présentation de la démo « Immersion 3D collaborative avec des données Pléiades Neo » (F. Civet, VR2Planets)

10h05 – 10h30 : Modélisation de la bathymétrie par Pléiades Neo en Baie de Saint-Malo : réseaux de neurones et transfert radiatif (A. Collin, EPHE-PSL/CGEL)

10h30 – 10h55 : Evaluation des données Pléiades Neo pour la cartographie des haies et des arbres hors forêts (M. Lopes, TerraNIS / D. Sheeren, INRAE)

10h55 – 11h10 : Pause

11h10 – 11h35 : Exploitation de données Pléiades Neo dans le cadre de suivi de réservoirs et de lacs en France et en Chine et pour la cartographie de dégâts de séismes en Turquie (H. Yésou, T. Ledauphin, S. Amzil, S. Battiston, C. Huber & S. Clandillon, ICube-SERTIT)

11h35 – 12h : Apport de l’imagerie Pléiades Neo pour l’appui aux politiques publiques d’aménagement durable (E. Bousquet, CEREMA)

12h – 12h25 : Augmentation significative des performances sur la détection d’objet militaire grâce à l’imagerie Pléiade Neo (A. Dalibot, Preligens)

12h25 -12h40 : Accès aux images Pléiades Neo via le Dispositif DINAMIS (D. Fontannaz, CNES / DINAMIS)

12h40 – 14h10 : Déjeuner (buffet)
Démo : Immersion 3D collaborative avec des données PNEO (F. Civet, VR2Planets)

14h10 – 14h35 : Analyse comparative du contenu informationnel de l’imagerie satellite 30 cm (O. Thiery, Geo4i)

14h35 – 15h : Apprentissage profond de la similarité pour la reconstruction 3D à partir d’images THR satellites : cas d’acquisition tri stéréo Pléiades Neo (M. A. Chebbi1,2, E. Rupnik2, P. Lopes1, M. Pierrot-Deseilligny2, 1Thalès, 2Univ Gustave Eiffel-ENSG-IGN)

15h – 15h25 : De Pléiades à Pléiades Neo avec les outils 3D open source du CNES (D. Youssefi et D. Lallement, CNES)

15h25 – 15h50 : Jumeau numérique de la Terre à partir d’images satellite Pléiades Neo (L. Gabet, Airbus / F. Gille, Dassault Systèmes)

15h50 – 16h05 : Pause

16h05 – 16h30 : Apport de Pléiades Neo pour la production d’orthomosaïques et de modèles numériques 3D dans le cadre du projet GEOSOCLE2 (L. Chandelier, IGN / S. Bosch, Airbus)

16h30 – 16h55 : De Pléiades à Pléiades Neo : enjeux et opportunités. L’expérience d’un producteur de données. (S. Delpierre, N. Gonga, M. Chauvin, S. Labarre, GEOFIT)

16h55 – 17h20 : Exploitation et valorisation des images Pléiades Neo avec ArcGIS (J.B. Henry, A. Trabelsi, P. Pruvost, J.-P. Deboos, ESRI France)

17h20 – 17h30 : Conclusion et clôture (Michaël Tonon, Secrétaire Général de la SFPT)

Téléchargez le programme détaillé de la journée et les instructions pour les participants

Les inscriptions sont maintenant clôturées,
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Avec le soutien de

Infos pratiques

B612
3, rue Tarfaya 31400 Toulouse

Transports en commun

> Bus et métro : à proximité immédiate, les lignes 37 et 78 circulent sur la rue de Tarfaya (arrêt Clément-Ader, accès rapide à la ligne B du métro).
> Gare TER de Montaudran, trains vers la gare de Toulouse-Matabiau et vers Castelnaudary/Carcasonne.

Voiture

Les échangeurs de Lespinet et Montaudran donnent un accès direct au périphérique et à l’autoroute A61.

Moto

Un emplacement moto est accessible au rez-de-chaussée du parking couvert.

Vélo

Le B612 est desservi par une piste cyclable. Plusieurs supports d’attaches vélos sont disponibles au rez-de-chaussée du parking couvert.

Pour stationner dans le quartier

Le B612 met à votre disposition 320 places de parking. L’accès au parking couvert est régi par contrôle d’accès.
Un second parking aérien est également accessible en proximité du B612 avec un contrôle d’accès.
Des places sont également disponibles sur la voirie.